Fi khatrek ya Mimo
La première chose qui me vient à l'esprit en lisant les derniers posts sur Medville, c'est ça :
J'ai vendu ma misère pour une voix de soumission
Au fond de moi la sentinelle pour y briller sans exception
Et les sourires étaient les mêmes
A-t-on le cri du coeur, la vérité ou la raison ?
Vous n'entendez donc que la bête
Et ses réponses à vos questions
Est-ce que la fièvre est un délit d'opinion ?
Est-ce que ma peine était un vote de sanction
La sentinelle qui trouve réponse à mes questions
Serait-ce la bête, serait-ce la bête, ou bien l'oppression ?
Mon prix sert de silence aux fossoyeurs de compassion
Aux mijaurées la suffisance, aux incendiaires de l'unisson
Quand un sourire décède d'avoir souri à l'opinion
A cette soupape, cette sainte attelle, j'aurai pu encore dire non
"La sentinelle", de Luke